Sur une période de 30 secondes de sommeil paradoxal divisée en série de 10 mini-périodes de 3 secondes, au moins 5 (50 %) des mini-périodes contiennent des bouffées d’activité musculaire phasique. Les bouffées d’activité musculaire phasique excessive durent entre 0,1 et 5,0 secondes et ont une amplitude au moins 4 fois plus élevée que l’activité EMG de fond.